Lexique de géobiologie pour tous

Dans le cadre de leurs activités, les géobiologues utilisent des termes précis. Voici déjà quelques définitions proposée par la « Commission Lexique » mise en place par la CNG suite aux Deuxièmes Assises de la Géobiologie.

Cette commission réunit des membres de différents horizons afin d’harmoniser le vocabulaire tout en respectant une rédaction rigoureuse. N’hésitez pas à réagir en utilisant le formulaire de contact ou à nous rejoindre pour participer à l’élaboration (en cours) de ce lexique.

 

Détection Biosensible

Il s’agit de la perception par la personne, avec ou sans outil de détection, de phénomènes géobiologiques.

 

Champs de torsions

En plus des champs gravitationnels, électriques et magnétiques bien connus, il existe des champs de torsion. Ils ont été évoqués par le mathématicien français Élie CARTAN il y a plus d’un siècle. Cette théorie a ensuite été reprise par Gennady SHIPOV et Anatolyi AKIMOV dans les années 1980. Les champs de torsion émanent du vide quantique et ils sont liés à la rotation des particules élémentaires. On distingue les champs de torsion statiques, liés aux formes, des champs de torsions dynamiques qui accompagnent toute onde électromagnétique. Les champs dextrogyres sont favorables pour le vivant ; tandis que les champs lévogyres sont défavorables au vivant et ont principalement une origine artificielle (nouvelles technologies). Les champs de torsion ne sont affectés ni par la distance ni par les blindages. Ils ont des applications dans l’industrie, dans la médecine et en agriculture.

 

Champ électrique (CE)

Il représente un espace où s’exerce le rayonnement des charges électriques d’un câble sous tension. Il peut être Basse Fréquence (BF) comme celui généré par la tension alternative 50 Hertz.
Son unité de mesure est le volt par mètre (V/m)

 

Champs électromagnétiques (CEM)

C’est la combinaison des champs électriques et magnétiques.

 

Champ magnétique (CM)

Il représente un espace ou s’exerce le rayonnement des charges électriques en mouvement, lorsqu’il y a une consommation (intensité). Il peut être Basse Fréquence (BF) quand il est généré par le courant électrique alternatif (50 Hertz).
Son unité de mesure est le tesla (T) plus fréquemment le nanoTesla (nT). Le Gauss a été beaucoup utilisé auparavant (1 T = 10 000 Gauss).

 

Cheminée cosmotellurique (CCT)

Phénomène singulier. Les CCT sont ressentis comme de grands tubes avec une partie aérienne et une partie souterraine.  Sa représentation en coupe  est donnée comme un disque au sol et il peut y être associé des bras en nombre variable. 

Effets observés en géobiologie:
Certaines personnes perçoivent une alternance de phase, un rythme plus ou moins régulier, comme une respiration

 

Courant parasite ou courant vagabond

Courant électrique non maîtrisé produit par des  défauts de l’installation électrique. Ces courants circulent dans les milieux et matériaux conducteurs des habitations, tels les masses métalliques, l’acier des bétons, l’eau, la terre, etc. pour rejoindre la terre de production (terre de neutre EDF par exemple).   Ces courants peuvent générer des nuisances en fonction du contexte local.

 

Courant de fuite

Un courant de fuite correspond à une déperdition du courant électrique vers la terre ou vers des éléments conducteurs comme un objet métallique. Les risques liés au courant de fuite peuvent être graves car ils sont susceptibles de traverser le corps humain ou animal.

 

Défaut d’isolement

Un défaut d’isolement provoque un courant de fuite s’observant lorsqu’un conducteur de courant électrique (actif) en fonctionnement, endommagé ou dénudé, vient directement ou indirectement (par exemple par le biais de l’eau), toucher la masse d’un équipement ou du sol.

 

Eaux souterraines

Ce sont toutes les eaux présentes  dans le sous-sol. On distingue :
– les nappes phréatiques qui sont les eaux souterraines circulant dans un aquifère lié à la porosité du sous-sol. L’eau y circule extrêmement lentement.
– Les eaux souterraines qui circulent dans les différentes anfractuosités (fissures, failles, karst…) d’une largeur allant de quelques centimètres à plusieurs mètres et d’une profondeur de quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres. Selon la largeur du réseau et sa pente, l’eau peut y circuler plus ou moins rapidement. Les géobiologues les appellent « veines d’eau ».

Une source est une résurgence d’eau en surface, qu’elle soit issue d’une nappe phréatique ou d’une veine d’eau souterraine.
Le sourcier recherchera en général non pas des sources, mais un point de forage situé à l’aplomb d’une ou  plusieurs veines d’eau qui se superposent. Ceci permet d’obtenir un débit de pompage régulier à une profondeur raisonnable.

Effets observés en géobiologie
Selon leur importance et leur configuration, les veines d’eau peuvent engendrer des perturbations multiples chez les êtres vivants lors de séjours répétés à leur aplomb (stress – irritabilité – diminution de la vitalité – troubles de la croissance – du sommeil – de la reproduction – de l’immunité – autres dérèglements…) .

 

Électrosmog ou nuage électromagnétique

C’est un terme générique utilisé pour désigner l’ensemble des champs électriques et magnétiques générés par les activités humaines et leurs technologies (ondes basses fréquences liées au courant électrique, ondes électromagnétiques hautes et très hautes fréquences générées par la téléphonie mobile, le WIFI …).

 

Faille

Zone de contact entre deux blocs rocheux à la suite de la fracture de ce bloc sous l’action de forces tectoniques. Il y a faille lorsque ces deux blocs ont subit un déplacement et qu’ils ne sont alors plus dans leur  vis à vis initial. Les failles peuvent être actives ou non actives…Selon le mouvement relatif des blocs, on distingue des failles de compression (faille sèche), des failles de coulissage (dans un même plan horizontal) et des failles d’extension. C’est dans ces dernières que l’eau va circuler. Certains parlent alors de failles humides.  Les failles, selon leurs  caractéristiques, peuvent être à l’origine de la présence de gaz radon, ou d’un rayonnement gamma à leur verticale. Elles peuvent également favoriser la circulation des courants électro-telluriques. Ces phénomènes ont la capacité d’affecter le vivant.

Effets observés en géobiologie
Les failles constituent l’une des perturbations majeures du vivant, renforcée lorsqu’il y a présence d’eau et/ou courants électriques parasites artificiels. D’autres structures géologiques peuvent engendrer des perturbations telles que fissures, zones de contacts entre deux formations géologiques différentes, autres discontinuités du sous-sol, etc.

 

Forme pensée et égrégore

Une forme-pensée est créée par le processus mental d’un individu.
Plusieurs individus unis autour d’un même but nourrissent un égrégore par l’agrégation de leurs intentions cohérentes (esprit de groupe…

Géobiologie

La géobiologie, hygiène de l’environnement, est la discipline qui traite des relations de l’environnement, des milieux naturels et artificiels, des constructions et du mode de vie avec le vivant.

 

Géobiologue

Le géobiologue évalue les caractéristiques du lieu, les facteurs ayant une influence sur le bien-être et l’hygiène du vivant, formule des recommandations et met en œuvre si nécessaire des moyens pour préserver ou améliorer le bien-être des occupants. Pour cela, il utilise des outils que sont l’enquête, l’observation, l’entretien, la détection bio-sensible et la mesure scientifique.

 

Géore

transposition en français du mot anglais  Leyline.
Ligne géodésique remarquable, détectable au ressenti, large d’au         moins quelques mètres et longue de plusieurs kilomètres , voire centaines de kilomètres. Elle a un début et une fin.  Des sites remarquables en alignement ou sous forme de figures géométriques, se trouvent bien souvent dessus.

 

Harmonique électrique

La présence d’harmoniques dans les circuits électriques signifie que le courant et la tension sont déformés et s’écartent des formes d’ondes sinusoïdales. Elles sont, entre autres, générées par des variateurs de fréquence, des onduleurs… et provoquent des effets perturbateurs pour certains appareils électriques ou les organismes vivants. Ces harmoniques peuvent se diffuser dans les matériaux, le sol ou l’eau.

 

Ondes scalaires (champs de torsion dynamiques)

Elles ont été mises en évidence par Nicolas TESLA à la fin du 19ème siècle et leur utilisation a été reprise par le physicien allemand Konstantin MEYL à partir des années 1990.  Contrairement aux ondes électromagnétiques qui ont un mode de propagation transversal (telle la lumière), les ondes scalaires se propagent (comme le son) de façon longitudinale et en spirale . Elles peuvent se déplacer, sans perte, à des vitesses qui peuvent être supérieures à celle de la lumière. Elles transportent de l’information localement, tout comme à de très grandes distances. Des émetteurs artificiels d’ondes scalaires permettent de les utiliser avec succès en médecine par exemple.

 

Réseaux telluriques

Maillages invisibles présents  sur  la totalité du globe terrestre.Ces maillages sont plus ou moins réguliers dans le sens cardinal  ou diagonal, à différentes profondeurs et altitudes. Il en existe de plusieurs dimensions.

Effets observés en géobiologie
Ils sont localisés pour leurs effets positifs ou négatifs sur le vivant en particulier au niveau des croisements de lignes, et/ou superposés à d’autres phénomènes (faille, eau, etc).

 

Réseau Curry ou réseau diagonal

(Manfred Curry  – médecin allemand – 1899 – 1953 ).
Ce réseau consiste en un maillage orienté en diagonal, à 45° par rapport aux axes cardinaux.  Les bandes sont espacées en moyenne de 5 m et sont d’une largeur autour de 36 cm.

 

Réseau Grand Diagonal ou réseau Wiesmann, Wissmam ou Wittmann

Ce réseau consiste en un maillage en diagonal, comme le réseau Curry, les bandes sont espacées en moyenne de 10 m et sont larges d’environ 50 cm.

 

Réseau Hartmann

(Ernst Hartmann – médecin allemand – 1915-1992).
Ce réseau est composé de trames autour de 21 cm de large, orientées nord-sud et est-ouest et espacées de 1m à 3,50m en fonction de la latitude et de la composition du sous-sol.

 

Réseau Peyré ou réseau solaire

(Docteur Peyré dès 1937).

Ce réseau est  composé de bandes d’environ 40 cm de large, orientées nord-sud et est-ouest et espacées de l’ordre de 6 à 8 m suivant la composition du sol et du relief.

 

Réseaux sacrés

Ces réseaux de grandes dimensions sont souvent liés aux lieux de cultes et autres édifices anciens remarquables.

 

Terre électrique

En électricité le terme « terre » représente le sol (la masse terreuse, d’où son nom) en le considérant comme conducteur. La prise de terre est la connexion mécanique entre l’installation électrique et la terre.
Les fonctions essentielles de la prise de terre sont :
– Sécurité des personnes contre les risques d’électrocution
– Évacuation des champs électriques et des courants de fuite

Elle doit être suffisamment faible pour assurer une bonne liaison (continuité) à la terre. Plus sa valeur en

Ohm est faible, plus la prise de terre est efficace.

Sa résistance dépendra, entre autre, de la surface de contact dans la terre (profondeur, texture).

 

Vortex cosmotellurique:

Phénomène tourbillonnaire détecté en biosensibilité au niveau du sol.
Cette spirale est de dimension et de rotation variable.